Pendant des années, je
n’ai jamais fait de macarons. Tout d’abord car je n’ai pas adhéré à ce
phénomène de mode en effet, j’aime bien mais je ne trouve pas cela si exceptionnel voir même trop sucrée,
mais aussi car à une période ma mère faisait des macarons et nous en offrait
une boite à Noël. Alors pour moi, les macarons c’était le truc de ma mère et je
lui laissais. Déjà que maintenant quand je viens chez elle, je suis critique
envers ses gâteaux, fallait bien que je lui laisse au moins quelques choses (hihi).
Oui mais voilà, à
force des faire des crèmes pour mes entremets j’ai une quantité de blancs
d’œufs à n’en plus finir. Les financiers (idée de recettes ici et ici), j’adore
ça mais ça ne consomme pas assez de blanc d’œufs et au bout d’un moment, j’en
étais écœurée.
Je me suis donc lancée dans les macarons. Gros échec au début. Et puis j’ai trouvé l’article « les macarons pour les nulles » sur le blog de Deliacious (un blog que j’aime beaucoup au passage). Pour tous les conseils techniques et pratiques je vous renvoie donc vers son article qui est vraiment top. Il a sauvé mes macarons !
Je me suis donc lancée dans les macarons. Gros échec au début. Et puis j’ai trouvé l’article « les macarons pour les nulles » sur le blog de Deliacious (un blog que j’aime beaucoup au passage). Pour tous les conseils techniques et pratiques je vous renvoie donc vers son article qui est vraiment top. Il a sauvé mes macarons !
Petite histoire des macarons
Ils viennent du Proche-Orient et du Maghreb. En effet, on y fait beaucoup de pâtisserie à base de sucre et d’amande
Au moyenne-Age, il fait son apparition en Europe. Il s’agit encore du macaron brut sans couleur ni parfum. Il se développe d’abord en Italie ou des nouvelles saveurs et formes apparaissent. Il faut attendre la Renaissance pour qu’il arrive en France. Plusieurs villes françaises (Amien, Boulay, Montmorillon, Nancy, Niort, Pau, Reims, Saint Jean-de-Luz) pensent avoir découvert le macaron en premier avec une histoire toujours différence. La plus connu est celle de la ville de Nancy ou Catherine de Médicis aurait ramené ce gâteau d’Italie en 1533.
Il a récemment était remis au goût du jour pour le Chef Pierre Hermé
Ils viennent du Proche-Orient et du Maghreb. En effet, on y fait beaucoup de pâtisserie à base de sucre et d’amande
Au moyenne-Age, il fait son apparition en Europe. Il s’agit encore du macaron brut sans couleur ni parfum. Il se développe d’abord en Italie ou des nouvelles saveurs et formes apparaissent. Il faut attendre la Renaissance pour qu’il arrive en France. Plusieurs villes françaises (Amien, Boulay, Montmorillon, Nancy, Niort, Pau, Reims, Saint Jean-de-Luz) pensent avoir découvert le macaron en premier avec une histoire toujours différence. La plus connu est celle de la ville de Nancy ou Catherine de Médicis aurait ramené ce gâteau d’Italie en 1533.
Il a récemment était remis au goût du jour pour le Chef Pierre Hermé
Pour une vingtaine de macarons
Les coques
Les coques
70 g de blanc d’œuf
2 * 45 g de sucre
semoule
80 g de poudre
d’amande blanche tamisée
80 g de sucre glace
tamisé
Ganache
240 g de crème
100 g de chocolat blanc
40 g pâte de pistache
Préparer la ganache
montée à la pistache
Dans une casserole,
faites chauffer à feu doux la crème et le chocolat blanc.
Versez la crème à la
pistache en 3 fois sur le chocolat blanc. Émulsionnez avec une maryse, pour
cela faire des petits mouvements circulaires au centre de la crème (un peu
comme si vous mélangiez une sauce salade)
Laissez refroidir et
réserver au froid au minimum 2 h
Préparer les coques
Commencez par réaliser
le tant pour tant, pour cela mixer ensemble le sucre glace et la poudre
d’amande. Cela permet d’homogénéiser le mélange. Réservez
Réaliser la meringue
française,
Commencez à monter les
blancs d’œufs en neige. Une fois que les blancs deviennent mousseux,
c’est-à-dire que le fouet laisse une trace dans les blancs, versez la première
moitié du sucre. Continuez de battre en augmentant la vitesse. Si vous le
souhaitez, ajoutez le colorant à cette étape.
Lorsqu’un bec d’oiseau
se forme, c’est-à-dire que lorsque vous soulevez le fouet une pointe en forme
de bec d’oiseau se forme, ajoutez la seconde partie du sucre et battre à grande
vitesse pour serrer la meringue. Votre meringue doit être lisse, brillante et
ferme.
Une fois que la
meringue est prête, commencez le macaronnage : versez le tant pour tant
petit à petit sur la meringue. Incorporez le tant pour tant à la meringue à
l’aide d’une maryse en réalisant des mouvements circulaires de l’extérieur vers
l’intérieur. Votre pâte est presque
lorsqu‘elle est au ruban. C’est-à-dire qu’elle s’écoule en ruban lorsque qu’on
la soulève. Je vous conseille d’aller voir sur le blog de Deliacious pour la
texture souhaité, c’est top.
Dressez vos macarons
sur une plaque recouverte de papier sulfurisé.
Préchauffez votre four
à 140° sur chaleur tournante.
Enfourner une plaque
par une plaque pour 12 min, suivant la taille de vos macarons et de votre four
le temps de cuisson peut augmenter. Je vous donne ici la valeur théorique, par
exemple avec mon four il me faut 14 min. Pour voir s’il son cuit, prenez
simplement une coque entre vos doigts, si elle se décolle facilement, alors
elle est quitte. Si non, prolongez encore un peu la cuisson. Évitez de dépasser
les 16 min.
Une fois sortie du
four, faites un trou dans chaque coque à l’aide de votre pousse. Cela permettra
de les garnir plu facilement
Montage
Regroupez les coques
des macarons par deux selon leurs formes et leurs tailles.
Fouettez la ganache
montée en chantilly. Versez-la dans une poche à douille. Déposer la ganache sur
une coque de macaron. Recouvrir de la seconde.
Laissez reposer au
moins un jour au frais avant de les déguster. Pensez à les sortir à l’avance
Terriblement gourmand.
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